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11/11/2015 - jul
Un poète égocentrique et lâche se retrouve malgré lui à animer un atelier d'écriture pour des réfugiées sans papier. Le choc est rude, la rencontre est à la fois émouvante et drôle.
J'ai moins aimé les récits des réfugiés qui se racontent qui sont parfois un peu long, et désolé, mais que j'ai trouvé un peu ennuyeux. Ce devait pourtant être le principal objectif de Mankell en écrivant ce livre.
Mon préféré, c'est le poète à qui tout le monde dit d'écrire un polar, et qui prend de la profondeur tout au long du livre, c'est la vraie réussite de ce roman.
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Pour ne pas être refoulée à la frontière, une jeune Nigériane s'invente une nationalité et un nom, Tea-Bag. Arrivée dans la banlieue de Göteborg, elle rencontre Tania et Leïla, émigrées elles aussi. Pour survivre dans cette Europe tant espérée, elles se serrent les coudes. Elles rencontrent alors le jeune auteur mondain Jesper Humlin. C'est l'occasion pour lui de découvrir une autre Suède, celle des exclus, des « sans identité fixe ».
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