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07/11/2008 - Peypeyou
Trois "microromans" ayant pour thème principal l'absence de liberté en Albanie.
Une écriture agréable, de belles images parfois, un thème passionnant et pourtant...ce livre m'a échappé,je suis passée à côté sans trop savoir pourquoi...
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Le terme n'existe pas, en français, pour désigner ces mini-romans, de 50 à 100 pages, denses et polyphoniques, qui sont le genre de prédilection de Kadaré (qu'on songe au Firman aveugle, au Concours de beauté masculine dans Les Cimes maudits, à La Grande Muraille, etc.), et celui auquel il semble devoir se consacrer désormais dans le domaine de la fiction, en ce qu'il contient à ses yeux les vertus littéraires par excellence : la densité et la sobriété.
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