2 commentaires
ajouter un commentaire  |
11/02/2009 - jul
Ah oui, je l'ai lu aussi, et c'est très drôle (et aussi un peu politique). Le film est bien aussi.
|
11/02/2009 - tchiort
Un cadre moyen se voit licencier de son entreprise. Après maintes réflexions il décide d'éliminer, de supprimer les candidats dont il juge le CV meilleur. Cela pourrait etre triste pathétique une critique de plus sur la société de M.... dans laquelle nous vivons et dont nous acceptons tacitement les règles . Et bien moi j'ai trouvé cela drôle surtout les scènes d'homicides nous ne naissons pas tueur et heureusement. La morale n'est jamais là où l'on croit qu'elle est surtout pas la fin .
|
Le couperet[commandez avec -5% sur fnac.com]
|
Après vingt-cinq ans de bons et loyaux services, Burke Devore, cadre supérieur dans une usine de papier, est licencié simplement parce que son entreprise a décidé de procéder à des restructurations. Après deux ans de galère à chercher vainement du boulot par la voie légale, révolté par l’injustice dont il s’estime victime, Devore passe aux grands moyens en reprenant à son compte l’axiome du libéralisme sauvage au nom duquel il a été licencié : “La fin justifie les moyens”. Calmement, avec application, et sans haine, il va éliminer tous ses rivaux potentiels dans la course à l’embauche. Dans l’oeuvre immense de Westlake, dont on ne retient souvent que la veine comique, c’est le chef-d’oeuvre du versant sombre, un portrait terrible et réaliste d’une société où, au nom du profit, le facteur humain est tenu pour quantité négligeable. Le roman a été adapté au cinéma par Costa-Gavras.
[modifier]