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Trois femmes puissantes

de Marie Ndiaye


3 commentaires

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01/06/2010 - Thalie
3 femmes, 3 histoires. J'ai aimé la première, avec un peu de mal à entrer dans l'écriture. Me suis ennuyée à la seconde, et trouvé très lourd, le style. "Il pensa qu'il aurait dû ... il aurait encore bien le temps.... Un héros tout en imparfait, passé simple et plein de temps composés, avec les hémorroïdes qui le démangent. Juste aimé la troisième. Un peu trop cendrillon l'héroïne quand même.

16/01/2010 - Annelila
Une écriture magnifique pour raconter trois histoires dans lesquelles on se laisse totalement emporter. Jai eu l'impression d'être le personnage principal à chaque fois. Les trois histoires sont distinctes et pourtant, il y a un fil ténu qui les relient.
La première histoire est la plus forte : Norah répond à l'appel de son père qui lui a demandé de venir dans sa maison en Afrique. Elle va tenter de comprendre ce qui est arrivé à ce petit frère que son père a séparé enfant du reste de la famille.
Puis on écoute la voix de Rudy qui ne parvient pas à rendre heureuse sa jolie femme africaine, Fanta, parce qu'il n'a pas l'envergure.
Enfin, c'est Khady Demba qui raconte son odyssée entre son pays d'Afrique qu'elle quitte dans l'espoir d'une vie meilleure.
Et à chaque fois, notre voyage à nous, nous le faisons à l'intérieur de l'humanité, portés par les mots, les phrases (si belles et si longues et si travaillées) de Marie N'Diaye.

08/11/2009 - marley
Trois récits distincts mais trois histoires de femmes qui se trouvent à un moment clé de leur vie et doivent surmonter leur passé, se battre ou fuir pour un avenir meilleur, faire accepter leur différence dans un monde souvent hostile... Des récits sans concession.


Trois femmes puissantes

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Trois récits, trois femmes qui disent non. Elles s'appellent Norah, Fanta, Khady Demba. Chacune se bat pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible.
L'art de Marie NDiaye apparaît ici dans toute sa singularité et son mystère. La force de son écriture tient à son apparente douceur, aux lentes circonvolutions qui entraînent le lecteur sous le glacis d'une prose impeccable et raffinée, dans les méandres d'une conscience livrée à la pure violence des sentiments.

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