5 commentaires
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22/05/2013 - maga69
Une histoire d'amour impossible bien sympa.
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10/08/2011 - cha
J'ai trouvé les personnages trop caricaturé pour croire à l'histoire quand je l'ai lu. Puis j'ai vu l'amour est dans le pré et finalement Benny n'est pas si loin de la vérité. livre moyen histoire un peu languissante.
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07/08/2011 - Thalie
Du plaisir, tout simplement. Des grandes questions, je dirais plutôt non. Une verve entraînante sur un scénario tout mince, des caricatures bien dessinées.
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23/11/2009 - jul
OK pour la verve, mais le reste m'a paru bien lourd. Ca dégouline d'amour romantique, des fois je crains pas, mais là c'est niais et ça se veut fin. Ca se finit mieux que ça ne commence, mais pas assez pour emporter le morceau.
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06/10/2009 - tchiort
Enfin un livre jubilatoire, une histoire d'amour loufoque entre Destinée et Benny. Rencontre au cimetière , direction le 7ème ciel puis les questions métaphysiques.Il faut une sacrée verve pour rendre intéressante les amours entre une veuve bibliothèquaire coincée et un agriculteur peu sociabilisé(couple 35 et 37 ans ).Les concessions sont-elles nécessaires dans un couple? Comment les aborder ?Que vit-on? Qu'y gagnons nous , qu'y perdons nous?.....Le pouvoir magique de celivre c'est d'enfoncer le clou comme quoi l'amour n'est pas qu'une question d'âge , de situation ou autre il ne faut QUE le vivre lorsqu'il se présente. Un régal.
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Placez côte à côte sur un banc, dans un cimetière, un vieux garçon séduisant et une jeune veuve terne. Elle est bibliothécaire et ne pense que culture, il est agriculteur et n’imagine pas qu’on puisse lire « de son plein gré ». Avec ces ingrédients, Katarina Mazetti a conquis les lecteurs suédois qui se sont arraché "Le Mec de la tombe d’à côté". Il est vrai qu’un coup de foudre parmi les tombes, à l’heure où l’horloge biologique de Madame sonne l’alarme, ne manque pas de ressorts comiques. Mais ce roman d’un amour hors norme fait aussi la démonstration qu’on ne s’affranchit pas sans douleurs de sa classe sociale : lorsqu’il s’agit de choisir entre opéra et traite des vaches, la passion est requise. Et c’est un minimum.
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