Vojaganto

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J'ai découvert Zebouc lors d'un voyage au Pérou avec Peypeyou et Marley. L'idée d'échanger ses impressions me parait séduisante, mais j'ai hésité car je lis assez peu. Mes deux acolytes de voyage m'ont convaincu que ce n'était pas là l'essentiel. Sinon, j'habite pour six mois a Lorient puis je retourne poursuivre mes études à Brest. J'ai evidemment lu "Tours et détours de la vilaine fille" lors du voyage, et actuellement je débute "L'amour aux temps du choléra" de G.Garcia Marquez

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Gabriel Garcia Marquez Arnaldur Indridason

 

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2 livres commentés, moyenne des notes : 11

 

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Gabriel Garcia Marquez - L'Amour aux temps du choléra		Une histoire d’amour presque impossible dans les Caraïbes du XIXème siècle. Des milieux sociaux différents, l’appât de la prospérité et la quête d’une reconnaissance sociale vont éloigner nos deux jeunes fiancés secrètement. Elle fera sa vie, lui vivra en cachette son amour pour elle. Mais au terme de ces deux vies bien remplies, le retour aux sources n’est il pas inéluctable… Un récit bien mené avec des personnages attachants, du soleil dans les pages et pas de violence, bref cela sent bon les vacances estivales
Arnaldur Indridason - La femme en vert		Le commissaire Erlendur Sveinsson vit seul dans le Reykjavik des années 90 avec pour seule passion son travail. Peu d’amis, pas de loisir, il va une nouvelle fois s’investir dans la seule chose qu’il semble maitriser : élucider un crime commis il y a plus de 50 ans dont on apprend l’existence par la découverte d’un squelette dans les fondations d’une nouvelle maison. Ce policier sera alors entrainé dans les mémoires des habitants d’alors, à l’époque de la seconde guerre mondiale mais aussi dans les quartiers sordides actuels de la capitale Islandaise loin des clichés touristiques, suite à un appel téléphonique mystérieux de sa fille avec laquelle il était fâché depuis longtemps. Le rythme de la narration est lourd malgré les nombreuses alternances passé-présent, certains passages sont prévisibles et la lecture est parfois hachée avec la répétition des prénoms dans les dialogues « Sigurdur Oli ; Elinborg ; Skarphédinn … ». On n’arrive pas à s’attacher aux personnages et peu à l’histoire, peut être parce que cela manque d’originalité et de couleur…mais après tout, il fallait surement s’attendre a cette sobriété pour un livre issu de la Terre de glace.