2 commentaires
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08/03/2010 - Annelila
Les livres de Philippe Claudel, je ne les oublie pas, je les porte en moi et je me rappelle souvent leurs images, leur ambiance, quelques scènes fortes. "Quelques-uns des cent regrets" est un des meilleurs de Claudel, avec une fin merveilleuse.
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06/09/2008 - Thalie
Une écriture vraiment très belle. Moi ça me transporte. Une sensation de solitude autour d'un personnage, ses pensées, ses méandres.
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Quelques-uns des cent regrets[commandez avec -5% sur fnac.com]
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A la mort de sa mère, le narrateur revient sur les lieux de son enfance, dans une petite ville du Nord inondée par la crue d'une rivière. Pendant les trois jours qu'il passera là, entre l'Hôtel de l'Industrie, la morgue, l'église et les rues de la ville, il ne cessera de replonger dans les années lumineuses de l'enfance d'où surgissent toutes les figures disparues : la mère bien sûr, jadis aimée plus que tout, Oreste Didione étrange, premier tueur aux abattoirs, le père Franche, pêcheur invétéré, Wladimir Pawelsky, vendeur ambulant... Pourquoi a-t-il abandonné sa mère ? Resurgissent alors d'autres figures, plus inquiétantes : les grands-parents maternels, le père absent dont la légende dit qu'il est mort dans une guerre lointaine. Une enveloppe est là, entre les mains du narrateur, elle contient sans doute la vérité sur ses origines. L'ouvrira-t-il ?
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