
4 commentaires
ajouter un commentaire![]() ![]() ![]() |
30/07/2010 - jul
Ben oui, trop court. C'est remarquablement écrit, mais ça laisse franchement sur sa faim (en même temps, c'est une nouvelle, ça fait toujours ça quand c'est réussi). C'est un bon exercice de style, mais l'histoire devient du coup très secondaire. Le personnage du champion d'échec est très décrit, et après on n'en parle plus pour passer à la description de l'outsider. Alors oui, c'est bien fait, mais je ne vois pas l'intérêt.
![]() ![]() ![]() ![]() |
09/03/2009 - tchiort
Lu il y a quelque temps mais effectivement très bien écrit, seul bémol je ne peux pas dire que Mr Sweig soit un "joyeux drille". Les sentiments sont toujours décuplés sauf que c'est rarement la joie et le bonheur (cf sa triste fin ). Son analyse est toujours fine et clairvoyante (24 heures de la vie d'une femme, Clarissa, la confusion des sentiments ...),ne me suis pas encore attaqué à la biographie sur Marie Antoinette quelqu'un l'a -t-il lue?
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
05/03/2009 - Thalie
Un texte absolument superbe.
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
04/03/2009 - Tisinge
Une nouvelle foudroyante de Zweig dans laquelle une rencontre sans importance sur un bateau permet d'évoquer la violence d'un régime totalitaire et le refuge dans une certaine folie. Un peu de mystère, des sentiments (comme toujours chez Zweig...), le dévoilement progressif d'une histoire personnelle. Du grand art. Presque trop court...
![]() |
le joueur d'échecs[commandez avec -5% sur fnac.com]
|
Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique ? Peut-on croire, comme il l'affirme, qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans ? Voilà un mystère que les passagers oisifs de ce paquebot de luxe aimeraient bien percer.
Le narrateur y parviendra. Les circonstances dans lesquelles l'inconnu a acquis cette science sont terribles. Elles nous reportent aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.
[modifier]