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Julian Barnes
5 livres de Julian Barnes
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[1]
Rien à craindre
Julian Barnes
Je ne crois pas en Dieu, mais il me manque. C'est ce que je dis quand la question est posée. J'ai demandé à mon frère, qui a enseigné la philosophie à Oxford, à Genève et à la Sorbonne, ce qu'il
pensait d'une telle assertion, sans révéler que c'était la mienne. Il a répondu par un seul mot : «Guimauve.»
«Guimauve»... C'est une façon de voir les choses, parce que croire ou ne pas croire en Dieu, et en une vie après la mort, débouche assez vite sur une autre question essentielle : faut-il avoir peur de la mort ? Dans ce livre, qui n'est ni un roman, ni un essai, ni à proprement parler une autobiographie, Julian Barnes va interroger ses amis de toujours, Montaigne, bien sûr, Jules Renard, évidemment, Arthur Koestler, Somerset Maugham, des poètes, des musiciens - mais aussi ses parents et son frère, un des plus grands spécialistes d'Aristote, qui vit aujourd'hui en France. Tous ont beaucoup de choses à dire, parfois très inattendues et savoureuses, sur ce sujet a priori austère, et le lecteur se surprendra à éclater de rire plusieurs fois.
Alors, effectivement, rien à craindre, chacun aura sa lecture personnelle d'un livre pétri d'intelligence, de culture et d'humour.
[...]
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[1]
Arthur et George
Julian Barnes
L’auteur du Perroquet de Flaubert dit qu’il n’a jamais rien écrit de meilleur. Il faut le croire ! Lorsque George Edalji, employé de bureau d’origine indienne, sort de prison pour un crime qu’il n’a
pas commis, il fait appel à Arthur Conan Doyle afin d’être réhabilité. Arthur, médecin devenu le célèbre écrivain que l’on connaît, n’est pas le père de Sherlock Holmes par hasard. Le résultat tient du tiercé gagnant : un thriller aux qualités littéraires incontestables, une peinture éclairée de la société anglaise à l’époque victorienne, et un portrait en creux de Conan Doyle.
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[1]
Love, etc.
Julian Barnes
'' D'un autre côté, en tant qu'ami je dois te dire que je l'aime. Ne me fais pas de remontrances, j'en suis aussi bouleversé que tu peux l'être toi-même. Si j'avais pu, en quoi que ce soit, me rendre
maître de la situation, je ne serais pas tombé amoureux d'elle... ''
Et c'est ainsi qu'Oliver apprend à Stuart qu'il a l'intention de lui prendre sa femme.
On pense aussitôt à Jules et Jim, deux hommes et une femme, mais c'est à Julian Barnes que nous avons affaire. Avec lui, rien n'est jamais comme on croyait pouvoir l'imaginer. Ironique, tendre et méchant à la fois, il fouille les blessures, scalpel à la main, là où cela fait le plus mal. Le remords, le refus de voir la vérité en face, la culpabilité, la terreur, tout y passe et le romancier-chirurgien n'épargne personne...
Sans oublier de nous faire souvent rire en nous montrant les dessous des cartes, certains replis très inattendus des âmes et des cœurs.
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[1]
Outre-manche
Julian Barnes
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[1]
Une femme, qui danse
Julian Barnes
Ceux qui veulent nier le passage du temps disent : quarante ans, ce n’est rien, à cinquante ans on est dans la fleur de l’âge, la soixantaine est la nouvelle quarantaine et ainsi de suite. Je sais
pour ma part qu’il y a un temps objectif, mais aussi un temps subjectif… le vrai, qui se mesure dans notre relation à la mémoire. Alors, quand cette chose étrange est arrivée, quand les nouveaux souvenirs me sont soudain revenus, ça a été comme si, pendant ce moment-là, le temps avait été inversé… Comme si le fleuve avait coulé vers l’amont.
Tony, la soixantaine, a pris sa retraite. Il a connu une existence assez terne, un mariage qui l’a été aussi. Autrefois il a beaucoup fréquenté Veronica, mais ils se sont éloignés l’un de l’autre. Apprenant un peu plus tard qu’elle sortait avec Adrian, le plus brillant de ses anciens condisciples de lycée et de fac, la colère et la déception lui ont fait écrire une lettre épouvantable aux deux amoureux. Peu après, il apprendra le suicide d’Adrian.
Pourquoi Adrian s’est-il tué ? Quarante ans plus tard, le passé va ressurgir, des souvenirs soigneusement occultés remonter à la surface – Veronica dansant un soir pour Tony, un week end dérangeant chez ses parents à elle… Et puis, soudain, la lettre d’un notaire, un testament difficile à comprendre et finalement, la terrible vérité, qui bouleversera Tony comme chacun des lecteurs d’Une fille, qui danse.
[...]
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